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Nos activités

Consultez ici la liste de nos conférences et du reste de nos activités.

« Figures rouges sur la face d’un rocher » : L’art rupestre du Bouclier canadien et les sources ethnohistoriques

« Figures rouges sur la face d’un rocher » : L’art rupestre du Bouclier canadien et les sources ethnohistoriques. Conférence sur le lien intime entre l’art rupestre et le territoire.

Attention : lieu différent. La conférence a lieu au Site historique Marguerite-Bourgeoys.

L’art rupestre du Bouclier canadien est une forme d’expression visuelle qui s’étend du Québec à la Saskatchewan. Les sites d’art rupestre du Bouclier canadien ont été largement interprétés comme des lieux sacrés où se déroulaient divers rituels et où on communiquait avec le monde des esprits. Les images sont considérées comme des représentations des visions de rêve acquises par les hommes-médecine et les jeunes en quête de vision.

Nos connaissances sur l’art rupestre proviennent surtout des histoires orales, ainsi que des sources ethnographiques et ethnohistoriques. Cette présentation examinera les données que nous retrouvons dans les sources ethnohistoriques – les écrits des missionnaires et des explorateurs, ainsi que les cartes – qui démontrent le lien intime entre l’art rupestre et le territoire. 

Une conférence présentée par la SHM.


Dagmara Zawadzka (Ph.D.) étudie l’art rupestre du Bouclier canadien et les arts autochtones. Elle a donné des cours sur les arts autochtones à l’Université de Montréal, à l’Université d’Ottawa et à l‘Université du Québec à Montréal. Elle a collaboré à la toute première exposition virtuelle d’art rupestre au Canada (2019), « Images dans la pierre » : https://imagesdanslapierre.mcq.org/en/.

Site historique Marguerite-Bourgeoys

Samedi 23 mars à 14h (entrée gratuite pour les membres, 5$ pour les non-membres)

400 Rue Saint-Paul E, Montréal, QC H2Y 1H4

Accessible via le métro champs-de-mars. Les visiteurs n’auront qu’à se présenter à la boutique du musée qui se trouve en haut des escaliers au bout du couloir lorsqu’ils entrent.

Fiche pratique
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« Michilimakinang, c’est un païs d’abondance » : Les modes de vie, la subsistance et la position des Odawas dans le Dictionarium Gallico-ȣtaȣaku[m] de Pierre-Luc Du Jaunay, 1740-1765

« Michilimakinang, c’est un païs d’abondance » : Les modes de vie, la subsistance et la position des Odawas dans le Dictionarium Gallico-ȣtaȣaku[m] de Pierre-Luc Du Jaunay, 1740-1765. Conférence sur les Odawas de L’Arbre Croche au cours des années 1740.

Attention : lieu différent. La conférence a lieu au Site historique Marguerite-Bourgeoys.

Cette conférence va explorer les modes de vie et des pratiques de subsistance des Odawas de L’Arbre Croche au cours des années 1740, et ce, à partir d’expressions liées à l’agriculture, à la chasse et à la mobilité dans un dictionnaire Odawa-français du père Pierre-Luc Du Jaunay (v. 1705-1780). Ce manuscrit, intitulé Dictionarium Gallico-ȣtaȣaku[m], a été rédigé vers 1740.

Le père Du Jaunay a été missionnaire parmi les Odawa à Michilimackinac de 1738 à 1765. Il a suivi la communauté à L’Arbre Croche, situé le long de la côte nord-ouest du lac Michigan, vers 1741. L’influence de Du Jaunay est restée dans la mémoire de plusieurs générations de cette même communauté, des années 1740 jusqu’aux années 1820. Ce souvenir durable est évident dans la préservation du catholicisme et des pratiques agricoles sédentaires, ainsi que dans l’emplacement contemporain de la bande Odawa de Little Traverse Bay près du site historique du village de L’Arbre Croche.

L’objectif de cette conférence est de mettre en lumière l’histoire de Michilimackinac à partir non seulement des pratiques des Odawas, mais aussi des observations et jugements des jésuites sur leurs modes de vie, ce qu’on ne trouve pas dans les autres ouvrages historiques sur la région des Grands Lacs.

Une conférence présentée par la SHM.


Mallory Novicoff est étudiante en deuxième année de maîtrise en histoire à l’Université McGill. Elle s’intéresse à la Nouvelle-France au XVIIIe siècle, et plus particulièrement aux documents rédigés par les jésuites en langues autochtones. Avant d’étudier à McGill, Mallory a obtenu un baccalauréat en histoire et en études françaises à l’Université de Californie du Sud à Los Angeles. Elle est Américaine, mais aimerait rester à Montréal, car c’est la meilleure ville!

Site historique Marguerite-Bourgeoys

Samedi 24 février à 14h (entrée gratuite pour les membres, 5$ pour les non-membres)

400 Rue Saint-Paul E, Montréal, QC H2Y 1H4

Accessible via le métro champs-de-mars. Les visiteurs n’auront qu’à se présenter à la boutique du musée qui se trouve en haut des escaliers au bout du couloir lorsqu’ils entrent.

Fiche pratique
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Récupérer et enrichir les données cartographiques trente ans après « Montréal ville fortifiée au XVIIIe siècle »

une affiche de Charlotte Mayol

Récupérer et enrichir les données cartographiques trente ans après « Montréal ville fortifiée au XVIIIe siècle », par Léon Robichaud. Conférence sur une application qui permet de redécouvrir Montréal.

La commémoration du 350e anniversaire de la fondation de Montréal en 1992 a laissé un riche héritage pour les historiens. Créée dans le cadre de l’exposition Montréal ville fortifiée au XVIIIe siècle et mis en ligne en 1996, la banque de données Adhémar présente des données textuelles avec des quelques cartes en format gif. À l’époque, les systèmes d’information géographiques (SIG) ne permettaient pas de diffuser facilement des cartes interactives. La cartographie en ligne étant devenue omniprésente et accessible, il est maintenant possible de rendre ces données disponibles.

Grâce au financement du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal, nous avons pu corriger les données afin de les intégrer dans une application SIG, et nous avons ajouté des couches concernant les clôtures et les jardins. Une telle application permettra de mieux comprendre le cadre urbain montréalais et de réaliser différents types de recherche.

Une conférence présentée par la SHM.


Léon Robichaud est professeur titulaire au Département d’histoire de l’Université de Sherbrooke, directeur de la Revue d’histoire de l’Amérique française et co-directeur du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal. Spécialiste de l’histoire sociale du politique en Nouvelle-France et des humanités numériques, il s’intéresse aux relations entre les habitants et les autorités ainsi qu’à l’utilisation des systèmes d’information géographiques dans l’analyse des phénomènes sociaux. Parmi ses publications, on compte « Les résistances à la loi sur la voirie de 1796 au Bas-Canada : action populaire et débat politique », Dix-Huitième Siècle (2021), « Prendre le tournant spatial en histoire. Le Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal et le Système de cartographie historique de Montréal (SCHEMA) » (2019) et « La gouvernance judiciaire et militaire sous le Régime français » (2014).

Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

Samedi 20 janvier à 14h (entrée gratuite pour les membres, 5$ pour les non-membres)

Station de pompage D’Youville
173, place D’Youville
Vieux-Montréal (Québec) H2Y 3Y5

Fiche pratique
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Sur les pas de Jeanne Mance : 15 ans de recherches de Montréal à Langres

une affiche de Charlotte Mayol

Sur les pas de Jeanne Mance : 15 ans de recherches de Montréal à Langres par Annabel Loyola. Conférence sur la co-fondatrice de Montréal.

Partez avec la documentariste Annabel Loyola sur les traces de Jeanne Mance en France, et plus particulièrement à Langres, sa ville natale, et découvrez avec elle quelques trouvailles inédites issues de plus de quinze ans de recherche.

Une conférence présentée par la SHM.


© Julie D’Amour-Léger

Annabel Loyola a travaillé dans l’industrie du cinéma et de la télévision à Paris et à Montréal pendant plusieurs années avant de se lancer dans la production et la réalisation de ses propres projets. Son premier long métrage documentaire et premier film produit sur Jeanne Mance La folle entreprise, sur les pas de Jeanne Mance (2010) lui a valu la médaille de la Société historique de Montréal et est devenu le point de départ d’un processus historique qui a permis la reconnaissance officielle de Jeanne Mance comme fondatrice de Montréal en 2012. La ville d’un rêve (2022) est son troisième long métrage documentaire et constitue, avec La folle entreprise et Le dernier souffle, au coeur de l’Hôtel-Dieu de Montréal le dernier volet d’une trilogie sur la fondation de Montréal.

Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

Samedi 9 décembre à 14h (entrée gratuite pour les membres, 5$ pour les non-membres)

Salle Kondiaronk, mezzanine du pavillon principal (ancienne salle polyvalente)
350, place Royale
Vieux-Montréal (Québec) H2Y 3Y5

Fiche pratique
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