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Nos conférences

Les débuts de Verdun

Le conférencier Gilles Laberge nous propose de remonter aux origines de Verdun (du début à 1900). Nous allons découvrir la façon dont l’histoire a démarré et parcourir quelques siècles pour comprendre comment cette ville a émergé.

Revivre en images les grandes lignes de l’histoire de Verdun. Une communauté qui, sur la période des quelques cent-cinquante dernières années, a vu progressivement son territoire se couvrir entièrement d’habitations, d’une extrémité à l’autre. Ainsi devenir une des premières banlieues-dortoir de la grande ville de Montréal.

Au programme, il sera question de la présence ancestrale des autochtones, suivie des explorateurs et de la colonisation française, l’implantation du canal de Lachine à la périphérie et de son corridor industriel, avec l’ajout d’une piste de course de chevaux, les débuts de la municipalisation et l’arrivée de quelques grosses industries. Cette première partie se terminera avec l’événement majeur de la fin du dix-neuvième siècle, soit la mise en place d’une longue digue protectrice.

Biographie du conférencier :

Gilles Laberge est historien et archiviste contractuels. Son territoire d’intervention couvre la grande région du Sud-ouest de Montréal et de la Montérégie. De plus, un ambitieux programme d’animation a été élaboré avec plusieurs conférences multimédia et visites guidées qui mettent en vedette la présence amérindienne, la Nouvelle-France et l’histoire régionale.

Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

15 février à 14h (entrée gratuite)
Salle polyvalente

350, place Royale
Vieux-Montréal (Québec) H2Y 3Y5

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Plongée au coeur d’une communauté

L’historienne Émilie Guilbeault-Cayer nous emmène au coeur de la communauté des Soeurs de la Charité de Saint-Louis du Québec. Plongée fascinante dans cet univers pour saisir les enjeux humains d’une congrégation qui a formé des générations.

Débarquées en Amérique en 1902, en Gaspésie, les Sœurs de la Charité de
Saint-Louis quittent leur Bretagne natale pour échapper aux lois antireligieuses sévissant en France. Dans le Québec d’avant la Révolution tranquille, la contribution des sœurs au système scolaire est majeure : écoles de rangs, pensionnats, orphelinats, école normale… Les sœurs tisseront au fil des ans un large réseau d’institutions d’enseignement, de la Beauce à Lévis, en passant par Bellechasse, Portneuf et Québec. Et avec l’ouverture d’écoles aux États-Unis et dans l’Ouest canadien, leur zone d’influence s’étend bientôt au-delà des frontières du Québec.

Devant les changements que vit la société québécoise dans les années 1960-1970, la congrégation se questionne. Comment répondre aux nouveaux besoins qui se manifestent ? La congrégation s’adapte en diversifiant ses activités, en créant de nouvelles œuvres de charité et de justice sociale. Au même moment, l’essor des missions internationales offre aux Sœurs de la Charité de Saint-Louis une occasion de renouveau, pendant qu’au Québec la congrégation poursuit son œuvre au service des populations démunies.

Au travers de cette histoire institutionnelle, on découvre des destins individuels, des destins de femmes pionnières de l’éducation en milieu rural au Québec. Émilie Guilbeault-Cayer livre un témoignage vivant à propos des embûches et du travail qui a été accompli pour contribuer à ce grand projet du développement de l’éducation des filles au Québec.

Biographie de la conférencière :

Émilie Guilbeault-Cayer travaille dans les milieux de l’histoire et de l’édition. Elle détient une maîtrise en histoire de l’Université Laval et un microprogramme en édition de l’Université de Sherbrooke. Elle a publié précédemment La crise d’Oka, Au-delà des barricades aux Éditions du Septentrion. Consultante en histoire depuis 15 ans, elle a collaboré à de nombreux projets en histoire autochtone, institutionnelle et urbaine. C’est avec beaucoup de plaisir qu’elle s’est plongée pendant quelques années dans l’univers et l’histoire des Sœurs de la Charité de Saint-Louis pour mieux comprendre leur contribution au Québec d’aujourd’hui. Son livre, Les Sœurs de la Charité de Saint-Louis en Amérique, 1902-2018, est paru aux éditions du Septentrion en 2018.

Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

1er février à 14h (entrée gratuite)
Salle polyvalente

350, place Royale
Vieux-Montréal (Québec) H2Y 3Y5

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Révélations percutantes sur de Gaulle et les Québécois

Pour ce premier ‘Samedi de l’histoire’ de l’année 2020, nous sommes heureux d’accueillir l’historien Roger Barrette pour nous parler du Général de Gaulle et de ses liens surprenants avec le Québec.

Malgré les apparences, le général de Gaulle est un homme méconnu des Québécois. Dans son nouveau livre, fruit d’années de recherche dans des archives longtemps gardées secrètes et à Colombey-les-Deux-Églises, l’historien Roger Barrette dévoile la personnalité intime du général-président et les liens étroits qu’il a tissés, de 1911 jusqu’à sa mort, avec les auteurs et les dirigeants québécois.

 Il apportera des réponses étonnantes aux questions suivantes : Pourquoi ce géant politique s’intéresse-t-il aux Canadiens français ? Que sait-on de ses trois visites au Québec (1944,1960 et 1967)?   Quelle est son influence dans le déroulement de la Révolution tranquille ? Quelle signification donne-t-il à son fameux «Vive le Québec libre !» ? Quelles sont les retombées de la politique québécoise du président de Gaulle ?
Photos d’époque et extraits de films agrémenteront cette conférence.

Biographie du conférencier

Roger Barrette en train de signer son livre au lancement organisé par notre vénérable Société

Roger Barrette est historien, auteur et juge administratif à la retraite.  Il a enseigné l’histoire à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et le management à l’Université Laval et à l’École nationale d’administration publique (ÉNAP).  Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles qui ont été publiés au Québec et en France. Il vient de publier chez Septentrion De Gaulle – Les 75 déclarations qui ont marqué le Québec (1940-1970). Il est secrétaire général de la Commission franco-québécoise sur les lieux de mémoire communs (CFQLMC). Auparavant, il a été président national de l’Association Québec-France et président de la Société historique de Québec.

Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

11 janvier à 14h (entrée gratuite)
Salle polyvalente

350, place Royale
Vieux-Montréal (Québec) H2Y 3Y5

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Cinéma et Histoire : les Italiens de Montréal par Bruno Ramirez

Cinéma et Histoire : les Italiens de Montréal par Bruno Ramirez, professeur d’histoire à l’Université de Montréal

Plus que d’autres villes de la diaspora italienne, Montréal vante une importante narration filmique de la présence des Italiens dans leur ville d’adoption. La conférence parcourt cette production filmique en mettant l’accent sur les deux thèmes majeurs qui la caractérisent : la mémoire et la reconnaissance. Elle servira aussi à introduire le visionnement du film « Trois camarades de Montréal », réalisé par Bruno Ramirez et Giovanni Princigalli.

Biographie du conférencier

Bruno Ramirez

Bruno Ramirez

Bruno Ramirez est professeur d’histoire à l’Université de Montréal. Il a consacré une bonne partie de ses recherches et publications à l’immigration des Italiens au Québec. Parmi ses livres qui portent sur ce thème, signalons Le premiers Italiens de Montréal (Montréal, Les Éditions du Boréal, 1984) et Par monts et par vaux : migrants canadiens-français et Italiens dans l’économie nord-atlantique (Montréal, Les Édition du Boréal, 1992). Il a aussi scénarisé plusieurs films qui portent sur l’histoire des Italiens de Montréal.

Pointe-à-Callière, Musée d’archéologie et d’histoire de Montréal

6 décembre à 14h
Salle polyvalente
350, place Royale
Vieux-Montréal (Québec) H2Y 3Y5

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